Rubriques

La signature scannée n’est pas une preuve suffisante du consentement à une obligation

La signature scannée n'identifie pas son auteur et ne prouve pas son consentement aux obligations découlant de l'acte « signé ». C’est ce que la Cour de cassation indique dans un arrêt rendu le 13 mars 2024.


Relais courtois de brève pour Les actualités d'Entreprendre.Service-Public.fr pour les professionnels et les entreprises
Lire cet article à sa source

Commenter n'est pas autorisé pour le moment